ONZE MINUTES de Paulo Coelho

Publié le par Tof


Présentation de l'éditeur
De la libération sexuelle à la vraie libération du coeur

Maria est une toute jeune Brésilienne du Nordeste. Elle, qui n’aspire qu’à l’Aventure, au grand amour, et travaille comme vendeuse dans un magasin de tissus, s’offre une semaine de vacances à Rio de Janeiro.

          Sur la plage de Copacabana, un Suisse lui propose de devenir danseuse de cabaret à Genève. Elle voit là le début d’un conte de fées, mais la réalité sera tout autre.          Maria en vient à se prostituer : sans honte, puisqu’elle apprend à son âme à ne pas se plaindre de ce que fait son corps, et qu’elle s’interdit de tomber amoureuse.         Après tout, la prostitution est un métier comme un autre, avec ses règles, ses horaires et ses jours de repos. Mais le sexe — tout comme l’amour — reste pour elle une énigme.

         C’est alors qu’elle rencontre un jeune peintre qui la trouble, car, s’il est aussi perdu qu’elle, il sait parler le langage de l’âme.       Pour découvrir le sens sacré de la sexualité, Maria devra trouver le chemin de la réconciliation avec elle-même.

      Paulo Coelho décrit pas à pas l’initiation d’une jeune prostituée, un parcours qui montre les limites de la prétendue libération sexuelle et s’achève par un retour romantique aux valeurs de cœur et de l’esprit.


Ce que j'en pense : Et bien je n'en pense pas que du bien. Désolé pour tous les aficionados qui, je présume, sont moins nombreux que les aficionadas del Grande Paolo Coelho. Je suis donc désolé pour elles, en fait non, je m'en tamponne le coquillard comme Maupassant de sa première chaude pisse. C'est long, c'est chiant, c'est navrant. A la rencontre avec le peintre tu te dis qu'il va enfin se passer quelques choses..... Et bien oui, et c'est toujours aussi chiant. Et hop elle rencontre un client un tantinet pervers qui joue du fouet.... Oh nouvelles extases, et hop ça retombe (pour lui aussi d'ailleurs). Quant à la fin, digne des meilleurs film hollywoodien.

         Maintenant j'ai trouvé ça nullissime peut-être parceque je suis un gros connard de mec qui n'a pas su décripter le caractère sociologique de l'oeuvre et l'importance de la connaissance de sa propre sexualité. Je répondrais, et bien je suis un gros con de mec (ce qui n'est pas un scoop)et concernant ma sexualité, ne vous inquiétez pas elle est entre de bonnes mains.


Publié dans Livres

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